Par David Livingstone,

Sufism and the Kabbalah [archive]

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Soufisme et la Kabbalah

Abdul Qadir al Jilani, le fondateur de l’un des ordres soufis les plus influents de l’histoire islamique, le Qadiriyyah [Qadiriyya], selon un célèbre historien juif, était un crypto-juif.

Fondateur de la confrérie soufie Qadiriyyah Joseph Hagueliti alias Abdul Qadir al Jilani

Chacham Israël Joseph Benjamin II, a écrit huit ans en Asie et en Afrique, de 1846 à 1855.

Il a indiqué, dans son ouvrage, qu’il y avait une mosquée de Bagdad , où la tombe du grand [mystique soufi] Marabut [Marabout] Abdul Qadir est très vénéré.

Il a fait mention que, ‘la mosquée était une synagogue avant‘.

Et que ‘le Marabout n’était, rien de moins, que le célèbre talmudiste Joseph Hagueliti‘. [1]  

[Images ajoutées à l’article] 
Chacham Israel Joseph Benjamin II, ‘Huit ans en Asie et en Afrique de 1846 à 1855’ , Hanovre, Allemagne 1861. p117.

Ordre soufi Qadiriyya à l’origine des Rosicruciens

Son rapport est instructif.

Comme, il est revendiqué par des occultistes, Rosicruciens tiennent leurs origines de l’ordre soufi Qadiriyya.

À leur tour, ils ont donné naissance à la franc-maçonnerie.

d’après, la tradition Rosicrucienne, un “prêtre” égyptien nommé Ormus [Ormusse] christianisait les mystères égyptiens.

Ce que l’on doit comprendre.

Il fait référence, à l’hermétisme comme représentant à tort une ancienne ‘sagesse’ égyptienne.

Cette tradition gnostique a soi-disant survécu en Égypte, laquelle a été conservée par les ‘Chevaliers de la Palestine’.

Elle est également connue sous le nom de ‘Frères de la Rose-Croix d’Orient’ [‘Brethren of the Rosy Cross of the Orient’]. [2]

Les “Frères Asiatiques”

Cette idée de ‘mystiques orientaux’, avec lesquels ‘l’ordre des Templiers’ sont entrés en contact, pendant les Croisades, est une référence aux ‘Frères Asiatiques’, du Xe siècle.

Les Frères Asiatiques ont été nommés en référence aux Frères Ismailis de la Sincérité.

[Ou dénommés les ‘Mystiques Orientaux’]

Ils sont liés à la légende d’Ormusse, apportés en Écosse par les Templiers.

Pendant des siècles et malgré leur allégeance publique à l’Islam, ils ont été extrêmement respectés par les kabbalistes.

Par ailleurs, les idées des Frères de la Sincérité reflètent des éléments des traditions pythagoriciennes, platoniciennes et magian [des mages], qui sont attribuées à une origine commune, à des racines juives. [3]

Les Frères Asiatiques, de même une grande partie d’occultistes, chez les musulmans ont tiré leur influence, de ces soi-disant ‘sabéens de Harran’, du sud de la Turquie.

Lesquels ont protégés les traditions de l’hermétisme et du néoplatonisme.

[cf: Les Frères Asiatiques]

Al-Biruni, un érudit musulman, du XIe siècle, indique qu’à l’origine les Sabiens étaient le reste des Juifs exilés à Babylone.

Où ils ont adopté les enseignements des Mages.

Ceux-ci, croit-il, étaient les vrais Sabiens.

Cependant, indique-t-il, le même nom a été appliqué, aux soi-disant, ‘Sabians de Harran’.

Leur système était dérivé de ‘Agathodaemon, de Hermès, de Walis, de Maba et de Sawar’.

[cf: Mystiques Orientaux]

Frères Ismailis

Les Sabiens se sont identifiés de manière trompeuse aux autorités musulmanes avec les ‘Sabéens’ du Coran.

Le but était d’obtenir la protection, de l’État islamique en tant que ‘peuple du livre’.

L’héritage des Sabiens

En réalité, les Sabiens ont hérité de traditions semblable aux sectes juives-gnostiques, comme les hypsistariens, de la Cappadoce voisine.

Et, ils ont propagé les traditions du néoplatonisme et de l’hermétisme au monde islamique.

Ces Sabiens adoraient les planètes.

Ils étaient réputés pour sacrifier un enfant dont sa chair était bouillie.

Ensuite, ils le transformaient en gâteaux pour être mangé, par une certaine classe d’adorateurs.

Sabiens et confrérie des Frères de la Sincérité

Les Sabiens ont eu une influence importante sur les cinquante-deux traités ‘des frères de la sincérité et des amis fidèles‘.

Une confrérie qui a fleuri dans la ville de Bassorah, en Irak.

Les épîtres des Frères de la sincérité ont contribué à la vulgarisation du néoplatonisme, dans le monde arabe.

De ce fait, ils ont eu une incidence sur le mysticisme et la philosophie islamique.

Sabiens et ismailis-Secte chiite

Généralement, il est convenu que les ‘épîtres des Frères de la sincérité’ ont été rédigés par les principaux partisans des ismailis, une secte chiite.

Cette secte a été fondée par un juif yéménite kabbaliste, nommé Abdallah ibn Saba.

Il avait faussement embrassé l’Islam.

Les Sabiens agissant en traducteurs et astrologues étaient chargés d’infecter le monde islamique, avec la philosophie de la tradition occulte.

Ainsi, ils ont favorisé la formation d’une version mystique, de l’islam, connue sous le nom de soufisme.

Elle était une source, importante d’inspiration, aux traditions soufies et pour les érudits juifs de la Kabbalah.

Sabiens et Soufisme

Le mot soufisme vient du mot ‘souf.

Il se réfère au vêtement de laine rugueux, que les premiers soufis portaient pour démontrer leur ascétisme, et leur renoncement aux désirs du monde.

Contrairement, aux affirmations des soufis l’ascétisme est dénoncé, dans le Coran.

Et, il trouve ses origines, en dehors de l’islam, dans des pratiques courantes dans le monde.

Par exemple, on trouve ce concept dans le mysticisme de Merkabah, les moines du christianisme, les lamas du bouddhisme et les fakirs de l’hindouisme.

Soufisme et Islam

Cependant, l’Islam visait à corriger ces inclinations.

Un dicton bien connu du prophète Mouhammed est ‘il n’y a pas de monachisme [ascétisme] dans l’Islam.’

À des chrétiens, le Coran a tenu ces propos.

‘Le monachisme [l’ascètisme] qu’ils ont inventée pour eux-mêmes, Nous [Allah (définissant un Dieu unique)] ne leur avons pas prescrit. [Ils devaient] seulement rechercher l’agrément d’Allah. (Verset 27, sourate 57)

[cf: Mystiques Orientaux]

Frères de la Sincérité et Zohar

Aussi, la tradition mystique prétend que le Zohar, le texte kabbalistique prééminent, écrit au XIIIe siècle, est basé sur une version antérieure.

Elle serait une ‘Kabbalah arabe’ provenant des Frères de la Sincérité.

Plus tard, les Frères de la Sincérité et d’autres mystiques soufis ont été largement étudiés, par les mystiques juifs.

Pour n’en citer que quelques-uns, comme Abraham Ibn Ezra, Moïse Maïmonide, Judah Halevi et Bahya Ibn Pakuda.

Ainsi que Ibn Gabirol [XIe siècle], le philosophe qui a incarné mieux que quiconque l’entrecroisement du judaïsme et de l’islam.

Ibn Gabirol et Ibn Arabi

Ibn Gabirol, un juif espagnol, assimilait les idées des Frères de la Sincérité, à un point tel, qu’elles étaient sa principale source d’inspiration, après la Bible.

Au Xe siècle, il avait également suivi les enseignements du mystique soufi Mohammed Ibn Masarra [883-931 apr. J.C].

Il avait introduit le Soufisme en Espagne. [4]

Ibn Gabirol et Ibn Arabi étaient deux grands disciples, de Ibn Masarra.

Ibn Arabi [1165 – 1240] était le philosophe arabe le plus responsable de la fusion du soufisme avec la pensée néoplatonicienne.

Ils ont été fortement influencés, par les Frères de la Sincérité.

Et, il ont formulé de nombreuses idées qui sont devenus le cœur du Zohar. [5]

Abdul Qadir al Jilani

Al Jilani a été condamné pour conservation d’œuvres hérétiques, dans son école.

Et particulièrement, ils détenaient ceux des Frères de la Sincérité. [6]

D’après David Margoliouth, la renommée de Al Jilani, parmi ses disciples était dans certains cas, presque supplanté à celle du prophète Mouhammed.

Souvent, il était appelé le ‘Sultan des Saints’. [7]

Sa réputation a attiré de nombreux élèves, de toutes les régions du monde islamique, et sa rhétorique persuasive ait dite avoir converti de nombreux juifs et chrétiens à l’Islam.

La légende de la vie et la carrière de Jilani ont été largement embelli, par ses successeurs.

Par exemple, son pedigree a été tracé du côté de son père, par la lignée directe de Hasan. [8]

Celui-ci était le petit-fils du Prophète.

La liste de ses miracles ont commencé assez tôt.

Tandis qu’il était seulement un enfant, alors il avait commencé à jeûner, en refusant le sein de sa mère.

Il croyait, être en mesure, de punir les pécheurs éloignés et d’aider les opprimés, et, d’une manière miraculeuse, en marchant sur l’eau et en se déplaçant à travers l’air.

Il était dit, qu’il disait que les anges et les djinns et le prophète Mouhammed apparaissaient à ses réunions et ils exprimaient leurs gratitudes.

Al Khidr

Jilani a affirmé être en contact avec le personnage mystérieux, d’al Khidr, ce qui signifie ‘le vert’.

Bien que, ce nom n’est pas mentionné dans le Coran, al Khidr est identifié, à travers, un personnage rencontré par Moïse.

Or, le nom Khidr ne se trouve que dans la littérature des Hadith.

La provenance, la plus probable, du Khidr se trouve dans les légendes juives et elles ont été associées au Mahdi musulman.

De la même manière, que le prophète Elijah [‘eliyahu, Elie] est associé avec le Messie juif. [9]

Elijah est une figure importante de la Kabbalah; par laquelle, de nombreux grands kabbalistes ont revendiqué qu’ils prêchaient une meilleure connaissance de la Torah.

Ils prétendaient s’inspirer directement du prophète à travers une ‘révélation d’Elijah’ [gilluy ‘eliyahu].

Le Zohar est attribué à Shimon bar Yochai, un rabbin du IIe siècle.

Conformément, à la légende juive, il a été inspiré par le prophète Elijah pour écrire l’ouvrage.

Al Khidr et son adaptation

Green Man

Aussi, Khidr montre des affinités avec le païen antique dying-god [dieu-morant].

Aussi, Khidr est associé au motif le ‘Green Man’. Il est souvent relié aux divinités de la fertilité, trouvées dans différentes cultures, à travers le monde.

C’est pourquoi, il est associé à la couleur verte [green].

De même, l’association d’Elijah [Elie] à la fertilité et la production de la pluie est largement répandue dans la littérature biblique et rabbinique. [10]

Saint-George

Le personnage d’Al Khidr a son équivalent dans le culte de Saint-George, partagé par des Chrétiens, des Juifs, ainsi que des musulmans.

Il y a une tradition dans la Terre sainte, où des chrétiens et des musulmans se recueuillent sur un sanctuaire [shrine, temple, tombeau, autel] orthodoxe, de Saint-Georges.

Et, des juifs le fréquentaient, croyant que le prophète Elijah a été enterré en ce lieu.

Ces musulmans adoraient ce même Saint-George, ou Elijah sous le personnage soufi, al Khidr.

Une tradition trouvait dans tout le Moyen-Orient, de l’Égypte à l’Asie Mineure. [11]

Dionysus-Sabazios

Les historiens notent, que l’origine de Saint-George se trouve à Cappadocia.

Et, qu’il est semblable à l’ancien dieu, nommé ‘Dionysus-Sabazios’.

Généralement, il était représenté sur le dos d’un cheval.

La mère de George était de Lydda, en Palestine.

Mais, il était cappadocien, né en Cilicie, le cœur des mystères de Mithra, pendant les périodes hellénistique.

Et, ainsi sa capitale Tarsus [Tarse] était le lieu de naissance de l’apôtre Paul.

En outre, Saint-George est à l’origine, du conte chevaleresque, d’une jeune fille sauvée par un dragon.

La légende n’est pas une histoire chrétienne du tout.

Mais elle est une adaptation chrétienne du duel typique du dieu-mourant du Moyen-Orient, comme Baal contre le Dragon de la mer, ou Zeus contre Typhon le Titan.

Dieu-morant, Adam Primordial, al Khidr et soufisme

Une autre identification avec le dieu-morant et le concept kabbalistique d’Adam Primordial, ou Adam Kadmon, et plus tard avec Metatron.

Il se retrouve dans la figure d’al Khidr, au sein du Soufisme avec le concept de Qutb, il signifie ‘pôle’ [ou ‘pivot’] ou ‘axe’, et avec Hermès.

Cette idée de l’homme parfait, chez les soufis, est reconnu par les spécialistes, comme remontant aux anciennes sources, magiennes [magian, mage, majoosi] et gnostiques.

Et, ces faits sont tracés, par Gilles Quispel, jusqu’aux conceptions kabbalistiques d’Adam Primordial. [12]

Le soufisme

Idries Shah, secrétaire et compagnon de Gerald Gardner, le fondateur de la religion moderne de witchcraft [la sorcellerie] connue comme Wicca, et un proche associé du parrain sataniste, du XXe siècle, Aleister Crowley.

Symbole de la Rose

Les Rosicruciens ont fait valoir qu’ils tenaient leurs sources de l’ordre Soufi Qadiriyya.

Le Chrétien Rosenkreutz ont supposé qu’ils étaient rentré en contact avec les Qadiriyya lors de leurs voyages au Moyen-Orient.

Le fondateur de la Qadiriyya, al Jilani était qualifié de la ‘Rose de Bagdad’.

Et, la rose est devenue le symbole de son ordre.

Traditionnellement, une rose de tissu vert et blanc avec une étoile à six branches au milieu est portée sur la toque des derviches Qâdiriyya.

Symbolismes Soufiques des Rosicruciens

Shah a indiqué, ce qui suit.

‘L’ignorance de ce contexte est responsable de beaucoup de spéculation inutiles sur les entités telles que les Rosicruciens qui ont simplement répétés dans leurs revendications la possession de l’ancien enseignement qui est contenu dans le développement parallèle appelé l’alchimie, et qui a également été annoncé par le frère Bacon [Francis Bacon], qui a lui-même affirmé qu’un Rosicrucien et un alchimiste et un illuminé.

Les origines de toutes ces sociétés dans le soufisme est la réponse à la question de savoir dans lequel d’entre eux Bacon a fait parti, et qu’est ce que la doctrine secrète était vraiment.’

Beaucoup d’autres symbolismes Rosicruciens sont Soufiques. [13]

Soufisme en Occident

Bien que, les travaux de Shah ont été critiqués, par les savants orientalistes, il a été le principal, responsable de la popularisation de sa version du Soufisme en Occident.

Ce qui était un déguisement finement Luciferianiste.

L’introduction au livre ‘Les Soufis de Shah’, a été écrit par Robert Graves, auteur de “The White Goddess”.

C’est un livre clé pour les Païens et les Wiccans modernes.

L’introduction de Graves décrit Shah, comme étant ‘dans la lignée masculine supérieure de la descendance du prophète Mouhammed’, et comme ayant hérité des ‘mystères secrets des califes, et de ses ancêtres.

Et, qu’il est, en fait, ‘un Grand Cheikh de la Tariqa Soufi’ [Voie du guide soufi].

Cependant, Graves a avoué que ceci était ‘trompeur: il est l’un d’entre nous, et non pas un personnage musulman.’ [14]

Soufisme, Frères musulmans et CIA

D’autre part, Shah était membre du Club de Rome.

Et, tel que rapporté par Robert Dreyfuss dans ‘Hostage to Khomeini’, il a travaillé avec les Frères musulmans [The Brotherhood], à Londres.

Shah, comme Bennett, Gurdjieff, Graves et l’ordre Soufi Naqshabandi, représentent l’étrange contribution du Soufisme aux activités de la CIA.

Notamment, ceci a été possible, par le biais de leur association à MK-Ultra et le hokey mystique de l’Institut Esalen.

[Esalen – Centre d’éducation d’inspiration New Age]

Elle a été l’organisation clé derrière le mouvement New Age.

Fraternité de Sarmoung, Soufisme et New Age

Shah a été un proche collaborateur de John G Bennett, un ancien chef du renseignement Britannique à Istanbul, et un protégé du ‘mystique scélérat’ et espion, George Gurdjieff.

Ce dernier prétendait tirer ses enseignements de maîtres soufis d’Asie centrale, connus sous le nom de la Fraternité de Sarmoung.

Gurdjieff fut instruit dans les secrets soufis par Abdullah Faizi ad Daghestani [1891-1973], le Cheikh de l’ordre soufi Naqshbandi Haqqani, à Damas.

En outre, Daghestani était le professeur de Cheikh Nazim al Haqqani.

Il est le leader de l’Ordre Naqshbandi-Haqqani, qui, avec son beau-fils et son adjoint Cheikh Hisham Kabbani, sont des agents clés de la convergence des idées soufies et du mouvement New Age.  

Cheikh Kabbani supervise Sunnah.org qui se vante d’être un des meilleurs sites islamiques dans le monde.

Soufisme et une seule tradition ésotérique

En outre, Stephen ‘Suleyman’ Schwartz est associé à l’aile Kabbani.

Elle appartient à l’ordre Naqshbandi-Haqqani, de Shaikh Haqqani.

Schwartz est un juif, converti à l’islam, et un auteur; et, il a publié dans une variété de médias, dont le Wall Street Journal.

Il a écrit l’article dans le Huffington Post, Soufisme Islamique et la Kabbalah juive: la Lumière sur leur Histoire Cachée*.

[*Islamic Sufism and Jewish Kabbalah: Shining a Light on Their Hidden History]

D’après lui, le Soufisme islamique et Kabbalah juive qu‘ils sont si proches, l’un de l’autre, que la présomption de leur mutuelle influence est inéluctable.’ [15]  

Shah a affirmé, que c’est du soufisme que la Franc-Maçonnerie tire sa principale doctrine centrale.

Et, c’est par laquelle le monde peut être uni, dans l’acceptation d’une seule tradition ésotérique [la Kabbalah].

Et, qu’elle est censée être la racine de toutes les religions exotériques.

Connexion entre l’ancien soufisme et le soufisme actuel

Shah indique ce qui suit.

Le lien entre, les anciennes philosophies pratiques et actuelles, est considéré, basé sur l’unité supérieure de la connaissance et non sur les apparences.

Cela explique pourquoi le Musulman Rumi a des chrétiens, des zoroastriens et d’autres disciples.

C’est pourquoi on dit que le grand ‘maître invisible’ soufi Khidr est juif.

C’est pourquoi le prince moghol Dara Shikoh a identifié l’enseignement soufi dans les Vedas hindous, pourtant lui-même est resté membre de l’Ordre Qadiri.

Comme on peut dire que Pythagore et Salomon sont des enseignants Soufis.

Aussi, cela explique pourquoi les Soufis accepteront, que certains alchimistes ont été Soufis, ainsi que la compréhension des facteurs de développement, sous-jacents, dans la philosophie évolutionniste de Rumi, ou le ‘christianisme’ de Hallaj.

C‘est pourquoi, en effet, on dit que Jésus se tient, en un sens, à la tête des soufis.’ [16]

Ceci est le secret antique, par lequel les Franc-maçons croient qu’ils ont hérité des Templiers par les Soufis.

Le mystère ultime appris est l’enseignement central de la Kabbalah, que l’homme est Dieu.

Robert Graves, dans son introduction à ‘Les Soufis de Shah’ [The Sufis Shah], explique que les vrais bâtisseurs de la Franc-maçonnerie étaient, ‘non pas les israélites soumis à Salomon ou des alliés phéniciens’ comme il est supposé, les architectes soufis d’Abdul Malik qui ont construit le dôme du rocher sur les ruines du temple de Salomon, et leurs successeurs.

Leurs noms figurent Thuban Abdel Falz [‘Izz’] et son ‘petit-fils’ Maarouf, le fils [disciple] de David de Tay, dont le nom de code Soufique était Salomon, parce qu’il était le ‘fils de David’.

Universalisme des Soufis dans la Franc-maçonnerie

Par conséquent, l’universalisme des soufis se trouve dans la Franc-maçonnerie, comme expliqué dans ‘Les clés perdues de la Franc-maçonnerie’ [The Lost Keys of Freemasonry], par Manly Palmer hall, comme suit.

Le vrai maçon n’est pas lié à une croyance.

Il réalise avec le divin l’illumination de sa loge, qu’en tant que maçon sa religion doit être universelle: Christ, Bouddha ou Mahomet.

Le nom signifie peu, car il ne reconnaît que la lumière et non le porteur.

Il adore dans chaque sanctuaire, s’incline devant chaque autel, que ce soit dans un temple, une mosquée ou une cathédrale, réalisant avec sa plus juste compréhension l’unicité de toute vérité spirituelle.’ [17]


Traduction Dailycensorship de Soufisme et la Kabbalah [archive]

Par David Livingstone

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[Sabian – cf: Ibn Taymiyyah a des sympathies occultes, peut-être expliquée par le fait qu’il se trouvait être né dans la ville de Harran des Sabiens – Soufisme et Ibn Taymiyya et les racines occultes du terrorisme islamique]

Réf 1

[1] Chacham Israel Joseph Benjamin II, “Eight Years in Asia and Africa from 1846 to 1855,” Hanover, Germany, 1861. p. 117.

[2] Allan H. Greenfield, The Roots of Modern Magick: 1700 thru 2000. (Manutius Press, 2006) p. 137.


Réf 2

[3] George Sarton, A History of Science (Cambridge: Harvard UP, 1959) p. 246; Yves Marquet, “Ikhwan al-Safa”, Encyclopedia of Islam, rev. ed. (London: Luzac, 1971) p. 1074

[4] Tom Block, “Towards an Understanding of the Jewish/Sufi,” Speech to the Jewish Community Relations Council, Ratner Museum, May 2, 2007 [http://www.tomblock.com/published/shalom_jewishsufi2.php]

[5] Ibid.


Réf 3

[6] Ibn Rajab, Dhayl (i. 415-20). Laoust, H.. “Ibn al-Dhawzi,” Encyclopedia of Islam. Brill Online, 2012.

[7] Ibid.

[8] Margoliouth, D. S., ” ʿAbd al-Ḳādir.” Encyclopaedia of Islam, First Edition (1913-1936). Brill Online , 2012. Reference.

[9] Abraham Elqayam, Shorter Encyclopedia of Islam.


Réf 4

[10] Brannon Wheeler, Moses in the Qur’an and Islamic Exegesis (London: Routledge/Curzon, 2002), p. 24.

[11] Richard G. Hovannisian and Georges Sabagh, Religion and Culture in Medieval Islam. (Cambridge University Press, 200) pp 109-110.

[12] Joel L. Kraemer, Philosophy in the Renaissance of Islam: Abū

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